vendredi, octobre 05, 2007

Pour que mille phares d’eau éclairent mon agonie
Asséchée ma purée de langage aux quatre vents
Pas de vie sans les miettes
Pas de théorie de l’évitement

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

LE TOIT DES SAISONS

Lisse toit râlait sous mes pas
Prendre une pente que je ne maîtrisais pas
Couvrent heures l’impensable
Chasser une chute sur des pétales.
Le temps livre mon cahier jaunit
Des fleurs que je gardais ravie
Comme une histoire victime
Des saisons qui se suivent fragiles.

vendredi, octobre 05, 2007 10:36:00 PM  

Enregistrer un commentaire

<< Home