Pour que mille phares d’eau éclairent mon agonie
Asséchée ma purée de langage aux quatre vents
Pas de vie sans les miettes
Pas de théorie de l’évitement
Asséchée ma purée de langage aux quatre vents
Pas de vie sans les miettes
Pas de théorie de l’évitement
1 Comments:
LE TOIT DES SAISONS
Lisse toit râlait sous mes pas
Prendre une pente que je ne maîtrisais pas
Couvrent heures l’impensable
Chasser une chute sur des pétales.
Le temps livre mon cahier jaunit
Des fleurs que je gardais ravie
Comme une histoire victime
Des saisons qui se suivent fragiles.
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