vendredi, août 31, 2007

Regarde ses yeux ébahis
L’otage comme sorti du noir
Minorités sagement gavées de l’empire du milieu
Comment ton essaim prend la pierre capitale

2 Comments:

Blogger lelotus said...

Voyons autant que soif d'image
Dansons autant que corps réclame
Usons la liberté, notre part de luxe
et laissons penser ceux qui en prenne le temps en espérant qu'il visent au mieux être du plus grand nombre

vendredi, août 31, 2007 5:24:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Courbures dans le trait
Mais ennemies d’un cœur rebelle.
La belle sert ses pensées modernes
Au poing d’une révolutionnaire,
Au point d’être la solitaire
Au cœur d’un phénomène.
Contre le pareil au même
Et la pierre aux lèvres muettes,
La belle a la langue qui traîne
Pour son rêve de prophète,
Vivre une injustice amère,
Et garder l’âme entière
Alors qu’on la martèle.

vendredi, août 31, 2007 10:08:00 PM  

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