dimanche, septembre 02, 2007

Entre mes salades je me décompose
Ma voix rap ces mots sans rien dire
Ce que de cinglant je tente à l’étouffée
De franchir ces os en travers de ma gorge

7 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Voilà du viscéral, de par l'autre qu' anal
La cocootte sifflera bientot
Ou le rugby si il le faut...
J'aime
Lelotus

dimanche, septembre 02, 2007 9:50:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Laisse moi te montrer
Cent regards à la craie
Pantomime assis et sans récit
Paon que Jhule ainsi dessine
Elle croit et soutient
La parole de l’oiseau
« Cent yeux » par deux fois dressé
La femme voilée a le regard caché
Elle pose sur un mur carmin
Une foi d’immortalité
Je peins Juhle et l’oiseau
En ne pensant qu’à demain.

Et il n’y a rien à dire…

lundi, septembre 03, 2007 7:12:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

L’eau de vie bénit
Sottise qui ne fait pas crédit
Pour que de mon cinéma
Il n’y ait plus de langues données au chat.

La vérité supplie
Plis d’être que je suis
Pour que de l’ombre qui reste
Le soleil en fasse des étincelles.

Les précipitations saoulent
Effleurements qui font fourcher les langues
Pour que vrai faux se rassemblent
Et que pluriel avec moi s’accorde toujours.

lundi, septembre 03, 2007 7:18:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

"L’homme est moins lui-même quand il est sincère, donnez-lui un masque et il dira la vérité."

vendredi, septembre 14, 2007 1:26:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

SE TAIRE

Non sans raison,
De bouts de ficelles
J’ai gardé à Flo
L’économie des mots
Un bas de laine
Que j’aurais voulu nylon
Pour la qualité de la réserve
Mais voilà que le murmure ose
Sans demander pardon.

vendredi, septembre 21, 2007 1:42:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

AIme la contenance de ce silence
Il écoute... prédit..grandit
Existe

lundi, octobre 01, 2007 7:43:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

LE CHOIX DE L’ITALIQUE

Je défigure, régurgite d’un passé
Des mots qui tonnent sur un palier
Premier et miette dans une lignée.
Mais à quel damné se vouer
Pour qu’exclure et éclore se coordonnent.
Exclaudere j’ai dans la gorge.
Ils ne font qu’un dans ce latin.
L’un l’emportera à voix claire ?
Ma vie que je ne veux pas voir flétrir,
Sans lacet, ennuie et tout l’toutime.
Alors je romps, pont pour changer d’air,
Sans perdre en racine une paire rare et difficile.

mercredi, octobre 03, 2007 10:57:00 PM  

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