lundi, août 20, 2007

A faire pâlir l’ombre de tes yeux
Cernes de dédain
Je t’envoie la lumière de demain

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

serait ce la fatigue, le jet vague
la douce langueur ou l'usage maladroit du mot dédain attaché à ses yeux, j'ai comme un gout amer à la lecture décerné du vers du milieu.
Je suis de l'entre deux

Lelotus

mardi, août 21, 2007 9:45:00 AM  

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