mardi, août 21, 2007

Les douleurs se figent ou se souviennent
Les plaies font leur chemin de croix
La peau et ce qu’on y laisse
Comme une couverture tirée à soi

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

CE QUI ME VA

Comme un gant,
Je trouve ce qui est à moi en toi
Et m’apprête à dérober
Ce qui s’y est glissé.
Les nuits se comptent sur les doigts.
Démasquée, en peine de doublure,
Il me colle à l’imprévu,
A me faire la peau sur l’extravagance
Pour un forfait : voler le troublant.

mardi, août 21, 2007 1:30:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Si les plaies tracent,
l' oubli efface
Ce corollaire d'un temps vécu m'apparait vague, et son écume bien à son rythme gomme la peau.


(J' espère la chine moins douloureuse. lelotus)

mardi, août 21, 2007 9:42:00 AM  

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