mercredi, octobre 24, 2007

O la vilaine tentation de l’omniscience
Pour qui assiste impuissant aux travellings de l’absurde
Les obscènes descriptions du chacun tacle la langue des lumières
Souffrons de ne pas s’habituer aux nouvelles ratures littéraires

4 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Belle invitation peut-être trop pleine d'elle même ?
Ne serions nous pas obscènes et d'égo centrés penchés à l'heure sur le clavier?
L' alité- rature pourrait-être un brouillon, une étape vers l'autrement...
lopportunité d'évoluer

mercredi, octobre 24, 2007 9:14:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Entre l’opportunité d’évoluer et la métamorphose, il y a un lien je suppose.
Une récidive alors, Va pour la deuxième prise, vieille rature, vieux brouillon, quelque peu différent, si peu !

TRAVELLING

Regards Kubrick sur une marche ininterrompue
Impudiques corollaires mis à nu
Sans montage ni structure
L’errance a ses hôpitaux
A la croisée de quelques fantômes
Danois ou damnés à s’égarer
A Trier les hésitations sur l’oreiller
En-tête d’un labyrinthe alambiqué
Elle est Lynchée et tourmentée
Par des traverses surréalistes mouvantes
Le pas de cette marche a son grand écran.

jeudi, octobre 25, 2007 2:02:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

De Lars à Lynch
Des fées au hell
J'en fait l'hotel
des Gars qu'on linche

Aucun lien supposé
Juste une évoluante amitié

lotus

mercredi, novembre 07, 2007 9:47:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

SEPIA

La sépia se badigeonne
Comme on badine avec la mignonne.
L’air passé se fredonne
Des notes dans un mauvais ordre.
Je ne comprends pas ces reprises,
Ces lavis qui nettoient les vies,
Des mesures ont foutu le camp
Et je feints de ne pas les entendre
Parce qu’il y a des marins intrigants
Qui manœuvrent à contre temps
En s’écartant du vent.
Je ne conserve pas de vieux augures
D’un mal de mer sous la brune.
Je m’habitue à l’absurde,
Un passé qui sous l’eau écarlate,
L’autre ne deviendrait pas sépia.

dimanche, novembre 11, 2007 7:28:00 PM  

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