Mettre quelque chose au centre pour s’y buter
Sans cesse élire l’écriture du vivant
L’écriture de sons vivants
Déplacé par son souffle d’existence
Partout je suis nudifié
Nulle part je ne peux cacher de moi
Sans cesse élire l’écriture du vivant
L’écriture de sons vivants
Déplacé par son souffle d’existence
Partout je suis nudifié
Nulle part je ne peux cacher de moi
posted by L'Ecole du lien at 9.10.07
6 Comments:
C’EST LE JEU !
Le jeu de la coque en chocolat
Premier à couler noir de mars
Crache, fâche, dure ganache
Sang cache-cache le garde vivant
Dernier à trouver fondant tendre
Il patiente, transcende, s’éventre
C’est le jeu et on mord dedans !
Pourquoi, pour qui vouloir se cacher ? De soi même ou des autres?
Bonne question! Après avoir mangé, j'y répondrai.
Imaginons cet enfant qui se cache les yeux en disant « caché ! », s’il ne me voit pas, il n’est pas vu de moi. La différenciation entre lui et l’autre n’est pas faite. Je suis encore cet enfant et si je me cache des autres, c’est un peu de moi de qui je me cache. Une réponse de secours OK ! Bon, je ne suis pas si cachée que ça des autres et de moi, je m’en expose à mesure que les lignes se posent. A cette heure ci, je mange des madeleines à la coque en chocolat, alors c’est plutôt ma vérité en barre ! Non ?
Laissons là cette verité qui se barre,fade et amere a la fois...
Pour une vérité du manque indéfinissable, 100% cacao ou pas, je serai au repas, jamais à satiéter, je sais, mais ainsi, encore, je désirerai et moins aliénée.
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