lundi, avril 26, 2010

Conduire un 4*4 aux vitres noires
Au son d’un rap assassin
Ne porter ses baskets qu’une seule fois
Avoir dans son crew des lieutenants
Acheter des kids comme de la came en gros
Ouest Baltimore ; un deuil par jour de seigneur

samedi, avril 24, 2010

Sur la toile les mots se figent
Infini dévoilé
Nul ne peut forcer à être
Nul ne peut se traverser

jeudi, avril 22, 2010

Tu te fais prendre
A chaque instant tu sursautes
Même en vol libre tu es en suspend

mardi, avril 20, 2010

Après l’économie du vol
Se profile l’économie du marcher
Merci à Eyjafjallajökull de couler
Il n’avait pas le sens du Je
A peine l’ombre d’une troisième dimension
au-delà de toute raison,
Sa vie se jouait en deux dés