jeudi, juillet 26, 2007

J’avance, ma tête cogne des bâches
Soudain la scène de crime comme une adresse
Dans le brillant des corps palpitants
Qui se perdent dans leur huile
Naquit quelque chose d’une fusion
Quelque chose d’un tremblement se jette en moi
Eclaté dans une mécanique du poisseux
Une fleur d’extase comme un flocon d’émoi
Que cette toute petite mort n’emportera pas

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Je n'ai pas vu la mort, la petite
L' aveuglement sans doute
Mais le poisseux partout est essence commune
Je te rend ce réel, et je scisaille les bâches

mercredi, août 01, 2007 4:56:00 PM  

Enregistrer un commentaire

<< Home