jeudi, juillet 05, 2007

Sous les dictatures du pouvoir le poète se couche
Dans ses mains de verre les pavés se déposent
Au coeur de l’aube à perles et à rayons
Sa liberté qu’aucun Réel ne touche

4 Comments:

Anonymous Anonyme said...

UN - Un corps naît des eaux, encorné par le passé
Trempé à remonter, il est seul à se remémorer
Trembler sur l’estrade quand le tract n’y est pas
A l’heure du thé, il est temps que l’abandon se surpasse.

jeudi, juillet 05, 2007 12:29:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

TROIS CORPS, LE GATEAU REVELE!
TROIS COUPS, LE RIDEAU S'OUVRE!

TROIS - Des corps accablés que personne ne perçoit
En beauté, les noms empruntés n’ont aucune âme
S’agiter sur l’estrade et maîtriser la tirade
Ils apprennent avec le temps la complexité en trois actes.

DEUX - Décor identique s’enchaîne jusqu’à Madeleine
A deux, se dresse la complicité des sans voix en haleine
S’écoule en elle l’essence de ses premiers sens
Jusqu’à ce qu’elle soit le squelette d’une réminiscence.

UN - Un corps naît des eaux, encorné par le passé
Trempé à remonter, il est seul à se remémorer
Trembler sur l’estrade quand le tract n’y est pas
A l’heure du thé, il est temps que l’abandon se surpasse.

MERCI PROUST

jeudi, juillet 05, 2007 12:43:00 AM  
Blogger lelotus said...

Voir la fragilité comme essentiel adage, est un risque à mesure comme l'espoir en l'âge.
Je loue la rébellion de nous contre le mou, du moi sur mon émoi:
Trop faible d'aube, de faux rayons
J'accouche le réel acceptant qu'il me touche

jeudi, juillet 05, 2007 11:09:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Celui-ci, je le trouve très très joli.

Merci.

Rien de plus.

jeudi, juillet 05, 2007 6:56:00 PM  

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