samedi, juin 30, 2007

A.R.T. on n’arrête pas un courant
Vendeur de friandises sur-transformées
Pedigree honteux, coupé de son savoir originel

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

UN SENS SE RELEVE

Les vibrations disposent et s’accordent.
Vous filiez dans un trait bien tendu,
Associez à Euphorisme, retenue,
Le mouvement que je connais contrôle
Jusqu’à ce qu’autour de moi je n’entende plus rien.
Abreuvez moi, le fade s’interpose si sérieux,
Il m’affame d’envies, reliefs savoureux.
Mélange de honte et de déplie collé au lien
Qui me tient à pas grand-chose.
J’éprouve de la douleur
Qui n’a plus d’odeur.
Voilà une autre main qui s’en sort,
Elle laisse se déployer un dos désarticulé
Que je tire vers le haut
Pour inventer ma force.
Un rien la porte
Et ses poignés supportent.
Quelque chose m’attire dans ce toucher,
Abandonné par un regard perdu,
Las d’abattre des étendues d’incertitudes.

dimanche, juillet 01, 2007 7:41:00 PM  

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