jeudi, avril 19, 2007

La plupart du temps il ne touche pas aux réglages
Des sons industriels résonnent dans nos corps
Le maître lui-même ponctue son œuvre de légères notes
Et pour chacun de ses mystères avoués
S’échappent quelques lambeaux d’horreur

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

LA BETE SANS LE MAITRE

Le maître se retourne sur la bête,
Tête à plusieurs visages,
Epingles qui écorchent l’être
Qui se perd en cris à ramages.
Les routes sont grandes,
Tellement trop grandes…
Voleur de grand chemin
S’y cache à point
Pour la déroute.
Banqueroute pour elle.
Elle, qui dans un regard au maître
Lui demande de n’être plus qu’une.
Il n’est pas là pour le secours,
Il est là pour l’accueillir,
La dévisager dans l’esquive,
La considérer à chaque néant.
Visages à chaque carrefour :
Horreur, mélancolie,
Gaîté, fard, semblant.
L’horreur revient,
Se retrouver et courir
Pour fuir l’écho interminable.
Serrer les poings
Et quitter la fable.
Guerrière à forces multiples
A pris le risque de s’affranchir.
Le maître la peint, l’écrit,
Elle est envahie par l’envie,
Ses peurs d’être sauvage,
D’être à plusieurs visages
Et d’être un cœur sans ramage.

samedi, mai 05, 2007 12:08:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Fais moi penser
Rêver
Je n’ai pas dit Jacques a dit
Jacques a dit ne devine pas
Lafontaine et le surréaliste déchantent
Et alors…
Il est homme a-fable, il est dérangeant
Elle danse encore
Jacques a dit ne valse pas dans le décor
Jacques a dit continue
Jacques a dit écris encore
Chut
Je n’ai pas dit Jacques a dit.

samedi, mai 05, 2007 12:57:00 AM  

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