jeudi, décembre 07, 2006

Une résistance qui organise son essoufflement
Fini les temps de pause pour respirer
Après birth of the cool, voici l’avènement du strident
Pierre Boulez veuillez sortir de mon corps !

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

L’exorcisme n’agit que sur le mal
Celui qui la baise dans le néant
Que faire pour Pierre, le gitan ?
Il se glisse dans sa nuit dans ses draps
Il la tente, elle se penche
Il s’essouffle, elle l’abreuve
Il prend son temps
Elle se sent veuve
Le rouge a été un poêle
Il joue sur des cordes raides
Les notes sont acérées
Elle se glisse dans sa nuit sans résistée.
Faudra-t-il aussi contacter l’évêché ?

jeudi, décembre 07, 2006 8:17:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Ta poésie surgit de la musique. De la musique existe grâce à de la poésie, des petits bouts de celle-ci:

L'ARTISANAT FURIEUX
La roulotte rouge au bord du clou
Et cadavre dans le panier
Et chevaux de labours dans le fer à cheval
Je rêve la tête sur la pointe de mon couteau le Pérou.

BEL EDIFICE ET LES PRESSENTIMENTS
J’écoute marcher dans mes jambes
La mer morte vagues par-dessus tête
Enfant la jetée-promenade sauvage
Homme l’illusion imitée
Des yeux purs dans les bois
Cherchent en pleurant la tête habitable.

BOURREAUX DE SOLITUDE
Le pas s’est éloigné le marcheur s’est tu
Sur le cadran de l’Imitation
Le balancier lance sa charge de granit réflexe.

3 pièces instrumentées (Le marteau sans maître, René Char), BOULEZ a été inspiré! Sous Xylo, koto, voix d'alto..., MILES n'a pas trouvé sa place, coulisse d'accord! Il était pourtant là avant!

Les années cinquante semblent te posséder!!

vendredi, décembre 08, 2006 3:24:00 AM  

Enregistrer un commentaire

<< Home