mardi, novembre 21, 2006

Tu porteras d’autres ombrages
Feuille d’automne quand vient ton émotion
Aux premiers vents de novembre
Tu trembles ton grand saut

6 Comments:

Anonymous Anonyme said...

L’étoile rousse de son point est décochée
Piaffez en la regardant tomber
Enviez ses frivolités
Elle se fout de la retenue
Feuille offre l’amour dans sa chute
Au vent qui autour d’elle s’enroule.

mercredi, novembre 22, 2006 1:35:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Je l’avais bien regardé
Son air détaché
Le café avait tâché
Et il résistait
A ne pas l’essuyer
Le devoir le tirailler
Mais il s’essayait
A toujours dépasser
Ce qu’on lui enseignait
La tâche est restée
Et si c’est ainsi qu’il aime
Je peux l’imaginer
Sans le regarder
S’essayer à sauter
Par-dessus son ombre
S’en détacher une seconde
Et que plus rien ne le retienne

jeudi, novembre 23, 2006 6:15:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

La dame aux pitbulls
Dresse ses fourrures.
Elle est maîtresse
Dans le monde de la contradiction.
Postulante aux « qu’en dira-t-on ? »,
Vuitton et Chanel en laisse,
Le conformisme
Est pourtant attaqué.
L’esthétisme de la pensée
En un regard a saigné
Car elle manipule
La déconfiture.

vendredi, novembre 24, 2006 12:21:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Le sapin est arrivé !
Parké, en filet
Un p’tit air à clochette
Et j’ai envi de le consommer.

J’ai un copain barbu,
Un peu tartuffe,
Que j’écoute
A coup sûr :

« Le pipo et la grosse caisse
Et peut-être du bleu cette année
Près des foyers de cheminées.
Pour la corruption: un grand verre de lait. »

Il commande ainsi son réveillon,
L’homme sans sépulture,
L’homme sans pognon,
L’homme de la plus longue nuit.

lundi, novembre 27, 2006 6:34:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

LE REVEIL

Délicate écologie de mes illusions !
Le froid dégourdissait
Mon pied sur un sol carrelé.
Les limites s’imposaient
Et Imaginer buttait.
La vérité s’installait
Avec un réveil aux banalités.
L’hypocrisie réchauffait au moins !

vendredi, décembre 01, 2006 1:49:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

clémentine, marron, mandarine...
choisir,sans rougir ni frémir
de n'avoir pas fait le bon choix.

noisette, amande ou encore noix ?
je broie du noir à réfléchir
aux passerelles bizantines.

vendredi, décembre 01, 2006 3:21:00 PM  

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