A bout de souffle je me prépare
Que veux-tu faire quand tu seras grand ?
Travailler assez pour jouer plus.
Que veux-tu faire quand tu seras grand ?
Travailler assez pour jouer plus.
posted by L'Ecole du lien at 8.11.06
mercredi, novembre 08, 2006
Qui êtes-vous ?
- Nom : L'Ecole du lien
- Lieu : Metz, France
Je suis approximativement une métamorphose, un projet, une utopie, en voie de développement, en manque, clivé, en cours de révolution, en déséquilibre, en quête d'absolue, en définition, immobile et mouvant, inattrappable, muet de désir, irradié...
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5 Comments:
Il y a eu toutes ces portes
Devant lesquelles je me suis arrêtée.
Une empreinte que je laissais
Et un départ y succédait
Des portes aussi ornées
Qu’elles se convoitaient.
D’autres bien plus modestes
Etaient blindées par sagesse.
Des grilles en fer forgé
Se forçaient avec ténacité.
Certaines étaient dissimulées
Et par un chemin hasardeux
J’y accédais
La main heureuse.
Le passage des intrigantes
Etait certainement
Le plus compliqué,
Elles étaient plus sécurisées.
Pour quelques unes du passé
On m’avait confié les clés.
Je suis ce voyageur
Qui aux portes s’arrête
En cherchant la sienne.
Je tire les chevillettes
Sans connaître la bobinette
Que je ferai choir.
Je suis un voyageur
Qui ne fera pas céder
Ses rêves sur un seuil.
Reprendre son souffle
Cavalier en F6
Rois en joue
Compter jusqu’à 2
B5 pour le fou
Deux visages au joueur
Les savants ne bougent plus
Face à un coup de maître.
FIN D'ANALYSE
Position d’impuissance
Contre position désirante
J’oscille
Mon analyste
Voltaire il s’appelle
Puis le doigt se tend à l’appel
Et les volts me chatouillent
Je tourne autour…
Trop dur, j’y suis pour RIEN
Se construire autour du rien
Ce désir que je vaux
C’est le déclic !
LA MUSIQUE RECHAUFFE LES COEURS... ET LES OS?
Sous la cape
Un violon dingue
A la corde bien pendue
Un air bavard
Se joue au bastringue
Station Bienvenüe
Sous le chapeau
Docteur maboule
Aux os glacés sur bâtonnet
Un buzzer de trop
Signale en rouge
Que son violon est cassé
LE REMEDE EST DANS LA CHAIR
La grâce d’une belle écharde
De jade de Montélimar
D’un vert si sucré
Qu’elle infecterait
Un cœur de pierre
En tendre nougat
Avec un grand écart.
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