mercredi, octobre 25, 2006

A se frotter vivement à la vie
Perd-on des bouts d’inutiles
Cheveux, dents, qu’en est-il de la raison
Dont l’urgence semble ne toujours pas être
D’en semer quelques graines

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Par moitiés, par quartiers
Ils sont devenus cinglés
Stockés puis muselés
Dans leurs quartiers
Des bouts se sont détachés
Pour ne plus soupirer
« Que dessines-tu ? »
« Les funérailles de l’amiral ! »
« Comment vivre une garde à vue ? »
« Demande une massue ! »
Ils feront quoi de ce sentiment d’étrangeté ?
Ils ont senti le moment imminent…
Pour le refermer
Et être mal élevés.

mercredi, octobre 25, 2006 8:24:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Je cherche les cotillons…
Compulsion sans raison
Trichotillomanie
Marie la p’tite souris.
Les dents grincent,
Pour son cheveu blanc
Qui lui reste.
Les cheveux s’arrachent
Pour la rage
Qui la tourmente.
Couple qui se déploie,
Se déplume…
Plus rien sur le caillou
Et des mandibules
Pour échanger des vœux
De précarité.

jeudi, octobre 26, 2006 1:44:00 AM  

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