Gorges chaudes, mains cédants
Polissonneries au coin du bois
J’arme que les sirènes ne nous voient pas
Polissonneries au coin du bois
J’arme que les sirènes ne nous voient pas
Poésie au jour le jour - Poésie de dégagement - Poésie de résonance
2 Comments:
ta langue de bois
(de bois d'ébène, tout de même)
me lèche, m'allèche...
malgré cela,
c'est du noir que je broie
Le calme est revenu…
Le danger s’éloigne…
Plus qu’un souffle.
La douceur le désarme,
La lenteur dans l’élan,
La retenue se méprend.
Plus de souffle.
L’abandon prend sa cadence
Et sa main en la sienne se nuance.
Les sirènes à la cage,
Traqueuses silencieuses
A chaque fois qu’elles encagent,
Réapparaissent toujours fructueuses
Lors d’une chasse qui avait cours.
Elles vont aux fers sceller
Leur butin en secret.
Un vent souffle...
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