vendredi, octobre 13, 2006

Gorges chaudes, mains cédants
Polissonneries au coin du bois
J’arme que les sirènes ne nous voient pas

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

ta langue de bois
(de bois d'ébène, tout de même)
me lèche, m'allèche...
malgré cela,
c'est du noir que je broie

vendredi, octobre 13, 2006 5:11:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Le calme est revenu…

Le danger s’éloigne…
Plus qu’un souffle.
La douceur le désarme,
La lenteur dans l’élan,
La retenue se méprend.
Plus de souffle.
L’abandon prend sa cadence
Et sa main en la sienne se nuance.
Les sirènes à la cage,
Traqueuses silencieuses
A chaque fois qu’elles encagent,
Réapparaissent toujours fructueuses
Lors d’une chasse qui avait cours.
Elles vont aux fers sceller
Leur butin en secret.
Un vent souffle...

vendredi, octobre 13, 2006 7:43:00 PM  

Enregistrer un commentaire

<< Home