jeudi, octobre 12, 2006

Brouillard de forêt sur lit de mousse
Je mangrove tant qu’à respirer
J’hésite à partir vraiment
Coquille de noix dans le delta
Pas même un sentier ne joue au serpent
Cette langue de sable me lèche l’océan

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Le délice du moustique
Une humeur humide
Une ardeur séraphique
A corps perdus dans la mangrove
Ils en garderont les stigmates des pauvres
Ceux qui ont fait couler la momerie.

jeudi, octobre 12, 2006 8:20:00 PM  

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