lundi, mai 29, 2006

A être enfermé, dans le cadre
D’où rien ne peut déborder
Je plains l’ordonnateur qui doit en toute conscience
Noyer dans ce puit de mensonge
Le peuple qui l’a un jour aimé

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Tomber dans la cage aux loups
Et y laisser un Moi sans peau
Forte des os que l’on expose.

Face à ceux qui gardent leurs ailes
Je serai la gueule du fauve
Qui accepte de brûler les devinettes.

lundi, mai 29, 2006 10:29:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

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samedi, juillet 22, 2006 2:35:00 PM  

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