jeudi, avril 27, 2006

Le courant déjà légendaire
Une porte propose cette valse hésitante
D’une verve qui se conjugue à tous les temps
Vos pas s’enfoncent sur le velours
Votre parfum délicat vous dédicace
Léger je tangue, je suis à cran
Je m’en vais profiter de cet étourdissement

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

La fragilité d’un aigu
Et le monde est tenu en joue.
Le souffle est soumis au sursis
Mais le temps n’est pas un souci
Quand on se met à essayer
Cette étrange sérénité.

jeudi, avril 27, 2006 6:16:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Tournent encore autour de moi
Toujours les flammes d’un feu de joie
Tout le monde ne suit pas

Tournent encore autour de moi
Toujours tes mains, elles glissent sur moi
Tout le monde n’y parvient pas

Tournent encore autour de moi
Toujours ces notes toujours plus vite
Tout le monde ne les joue pas

Tournent encore autour de moi
Toujours, toujours des lettres sans voix
Tout le monde n’écrit pas

Tourne, tourne
Toujours, toujours
Un tournis de plus

Regarde autour de moi
Tu ne suis plus
Alors reste avec moi.

jeudi, avril 27, 2006 10:31:00 PM  

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