samedi, avril 29, 2006

Au printemps des beautés qui fanent
J’y accoste de tout mon séant
Par cœur les fables du lubrique
Ce qui se love se mâchonne en rêvant
Sous les porches l’arnaque se cultive encore
Tombeur au long court se déplace patiemment
Quelques doigts pour débrancher ma crécelle.
Je suis un client absent, je suis innocent
J’arrive toujours à savoir qui sera la plus belle
L’onde de la peur traverse mes patients
L’ombre du voleur panique ces pauvres gens