vendredi, juin 15, 2007

Encore un rêve de roi plutôt qu’un désir de royaume
Chaque jour mes nouveaux amis s’observent
Aux tables je m’assieds sur ta fièvre
Clic clic, ce soir je vais lire dans les cartes

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Et je suis l'as de trefle qui pique ton coeur, chantait un certain M.C.
Si sûr de tes forces, tu te lances corps et âme dans l'arène quand d'autres se montrent indécis.
L'ivresse du jeu, le vertige de la victoire dévorent tes heures, autant de papillons fragiles qui s'envolent et retombent, anéantis.

dimanche, juillet 01, 2007 5:19:00 PM  

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