lundi, janvier 15, 2007

Servi au flop, donne impeccable vraiment
Du grand cours de sévisse au tapis
Je me délecte des arrivées à la table
Discipline des yeux, vert la couleur de l’espoir
Grosse faillite digitale au tournant
Sur le fil, la rivière fait déborder ma joie
Frénétiques ces 0 et ces 1 qui saoulent mes journées

6 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Elle crame ses heures
A perdre silencieuse la main
Pour une pioche hasardeuse
Et un face à face qui tient.
Le programmeur relance
Les regards s’échangent
Pour une fièvre permise
Autour d’une licencieuse mise.

lundi, janvier 15, 2007 1:41:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Petit bout fragile
Prédit soul les rixes
Qui résoudront
Les grondements
De l’impossible
Balisage de l’île.
Commotion, typhon,
Dans un bouillonnement,
Coulèrent la terre
Fantôme en colère.

mercredi, janvier 17, 2007 12:51:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

N’ont nul besoin
De miroirs tains
Tyran versus marâtre.
Bon sang ils me glacent!
Que dégagent ces chairs
Qui à souhait ont souffert!
18h, préférer le crachat
Aux assauts de ceux là.

jeudi, janvier 18, 2007 1:44:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

J’ai attaqué par trois notes
Les accords ont pris leur place
Une berceuse sans voix
Pour toi Insomnie.
Je prends un peu d’avance
Le balancier de la vitesse
Je m’abandonne aux rêves
A la fin de cette mélodie.
Je préfère leur compagnie
A la tienne
Tu dors ?

samedi, janvier 20, 2007 2:17:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Je te connais bien
Tu dérobes sous mon nez
Et je ne te dis rien

Je t’ai rempli
De détails insolites
Qui ont fait mes souvenirs

Je pensais les avoir oubliés
Tu pensais être bien verrouillé
Nous avons passé la nuit à lutter

Un doigt pincé
Une serrure forcée
Mais j’ai eu raison de toi

Tiroir miroir du passé
Ça ne te fait pas de mal
D’être contemplé

J’y ai vu un sacré bazar
Puis les pièces ont pris une place
Petits rameaux encore bien vivaces

Sacré voleur
Complice silencieuse
Nous ne sommes plus ceux-là

Je me penche encore sur toi
Tu me prends par les sentiments
Nous allons encore un peu rester ensemble

lundi, janvier 22, 2007 1:33:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

AVIS DE TEMPETE

On ne choisit pas vraiment
D’être tailleur de cyclone.
On grandit avec les ciseaux,
De longs instruments
Que l’on agite comme le maître.
Les cyclones à capuches
Parviennent à force
Par être de grands cyclopes
Et ils veulent défier les lames.
Le tailleur essaie de les contrôler
Comme des outils de torture
Avec lesquels il finit par se blesser.

mercredi, janvier 24, 2007 7:18:00 AM  

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