vendredi, janvier 12, 2007

Assis dans la paille, je suis toujours étonné
De n’avoir pas ici-bas connu de paradis
Avant de voir passer cette étincelle
J’avais souvent le sens du vent
Mais puisqu’il me rentre toute la fumée dans les yeux
De ce goût d’enfer, je cherche déjà la sortie

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Fumée plein les yeux,
Les flammes consument
Le mystère amoureux.
Les vents cherchent, tournent,
Ils n’attendent pas
Ce qui rassure
Et ils lui soufflent
Ne t’en va pas.

vendredi, janvier 12, 2007 6:33:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Le diable glisse sur ce qui la façonne,
Un sourire peint et les yeux clos,
Elle évite l’offensive et reste corps.
Il est contre ses reins
A suriner qu’elle n’est plus rien
A dire bas pour qu’elle sommeille en son sein
Il l’a prend pour ce qui l’habite
Une peur anormale d’être engloutie
Et l’inertie qui mène à une conduite
Elle a semé l’incertitude souvent
Avec l’assurance de refaire à l’équivalent
Pour l’écrire, elle a du brûler son sentiment
Jouer avec les cocktails et l’ivresse
Repousser les fausses promesses
De pouvoir toujours avec lui se consumer.
Le diable sourit de l’étreindre, de l’avoir
Ici bas elle a toujours eu le choix
Là, elle danse, flanche, aux abois
Aurait-elle perdu l’estime
Pour un savoir qui l’abîme
Et qu’elle voudrait fuir ?

dimanche, janvier 14, 2007 10:20:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Aime la flamme comme la femme
Hume l'humeur le vent, ta peur
et plait au rien sans plaidoirie

samedi, juin 02, 2007 6:05:00 PM  

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