mercredi, janvier 10, 2007

Je ruisselle le sentier
Moite est ma rancœur folle
Une fois trempé je saigne encore
M’en remet à l’oubli de soi
Coquille dans sa brume enfermant sa pénombre
Un regard sur le ciel dresse un climat d’espoir
Une pluie calme pour laver mes pensées

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Regards dans la vague,
Nus comme un ver,
Un trésor a mordu.

Un veston sans écaille
Et un verrou au clou
Pour acheter l’écorce amère.

Les fers en l’air,
Ils pouvaient se plonger
Dans ce qu’ils voulaient entrevoir.

jeudi, janvier 11, 2007 11:22:00 PM  

Enregistrer un commentaire

<< Home