jeudi, août 31, 2006

L’effroi n’a pas de château
Il circule dans les ruelles
Où la vermine rassemble son troupeau

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Une minute encore !
Elle était de trop.
L’eau accélère sa course.
Les corps se dressent
Alors qu’elle les traverse.
Le sable se dérobait au premier pas.
La marée apportait un nouveau regard
Sur ce qu’il avait connu :
Une terre qui s’étendait
A un piège qui se refermait.

jeudi, août 31, 2006 5:19:00 PM  

Enregistrer un commentaire

<< Home