lundi, août 21, 2006

Attirée par les cas
Elle nous prenait de haut
Elaborant sa théorie

5 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Les frissons fractionnent un corps
Parce que la fièvre lui a jeté un sort.
Ce qui reste comestible :
Le comprimé d’antalgique.

lundi, août 21, 2006 12:18:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Convaincre un tambour de jouer plus fort
Couvrir celle qui fanfaronne
Juste pour répandre de mauvaises notes
Aux gens qui ne marchent pas.

lundi, août 21, 2006 12:36:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Perdre par poignée ses cheveux
Ou perdre peu à peu ses souvenirs
L’absence s’étend et le vide se creuse.

lundi, août 21, 2006 11:10:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Je ne veux pas de l’amnésie
Comme pour avoir recours à une sortie.
Toujours cette porte que je soigne
Mais le temps a bien plus de poigne

Je ne veux plus de sortie de secours
Comme raison d’une liberté, toujours.
Cette porte creuse les murs un par un
Plus rien ne tient.

Je ne veux plus de cette liberté
Comme celle que j’ai fabriqué
Pour éviter d’être coincée
Et qui à la solitude me fera condamner.

Et si je savais ?
Tout serait plus compliqué ?
Une dernière porte alors
Mais pas l’amnésie !

lundi, août 21, 2006 11:12:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Préparer sa rentrée.
Jeter un œil sur une précédente liste.
Les vacances sont terminées.
Voir ce qui a été validé :
Le refuge est resté en plan,
L’air marin respiré,
Les valeurs sèchent encore sur les haubans
Mais quelle était cette question de l’été ?
Qui m’a manqué ?
Quel souvenir alors y rattacher ?
Une absence signifiante
Pour m’avoir fait progresser.
Une nouvelle rentrée.

lundi, août 21, 2006 11:32:00 PM  

Enregistrer un commentaire

<< Home