jeudi, août 24, 2006

La foudre amoureuse de ses proies
Et ce ciel devenu noir
Je m’attendais à tout même au pire
Sauf à ce « coup de transfert »

5 Comments:

Anonymous Anonyme said...

capricieuse nature de l'Homme ou de la Terre
humeur humide ou amère,
bien trop chargée pour éviter
l'attaque subite des particules
élémentaires et ridicules

jeudi, août 24, 2006 11:06:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Le soleil foudroie les vies.
Une révolution autour de lui,
Jour unique, il est au zénith.
L’année sous ce tropique
Piquera au jeu du cancer
Celui qui aime la vie,
Celui qui rie avec sauvagerie,
Truculence et tendresse.
Cette année sous le tropique,
Les cœurs sont électriques,
Le battement tonitruant,
Ils recrachent le statique
Et ceci à leurs dépens.

jeudi, août 24, 2006 5:37:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

"...Il n'y a pas une miette de saleté nulle part, ni une chaise déplacée. Nous y sommes tous seuls, et nous sommes morts..."

jeudi, août 24, 2006 5:44:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Je serais une obsession
Pour un autre visage
Posé sur un miroir
Et chassée par un rayon.

jeudi, août 24, 2006 5:57:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Henry et June M.
Visages sur toile
Cartes et voyages
Betty et Zorg
N’ont d’horizon
Que leur passion
Fruit d’une liberté
D’une porte prête à se fermer
La rentrée réveille la fièvre
Supplie les tambours
Et enfin le sommeil
Compte à rebours !

jeudi, août 24, 2006 10:16:00 PM  

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