mardi, mai 09, 2006

En bout de chaîne un mensonge
Cet homme n’était plus prédateur
Dans la filiation des silencieux
Qui pourrait s’orienter
En s’enfonçant dans la terre
Emportent leurs secrets
Dans l’essor d’un mystère
Je ne dirai plus rien

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Les absurdités se sont déchaînées
Pour qui a accepté la surdité
Et par l’imprévisible d’être charmé.

Au bout de ces chaînes
Des perroquets mangeurs de corail
Des poissons fugueurs pour un vol
Des silencieux que l’on entend avec peine
Des mystères sans indice ni portail.

Les absurdités se sont laissées approcher
Pour qui refuse la cécité
Et par la voix de se livrer.

mercredi, mai 10, 2006 1:49:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Une poche s’est remplie
Un trésor se déplie
La mer a jeté un sort.

Une porcelaine transpire
Pour le pire et pour le meilleur
Vingt ans se sont écoulés.

Elle a était une monnaie
Pour un échange parfait
Elle a fini par être ensablée.

Un temps s’est glissé
Elle a été déterrée
Et de main elle a changé.

mercredi, mai 10, 2006 2:14:00 AM  

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