mercredi, février 08, 2006

Je le tenais d’un vieux voyageur
Qui accrochait dans son herbier
Le palmarès de ses efforts

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

La vie déménage
Et les certitudes boivent la tasse.
Assoiffées par un difficile accostage.

mercredi, février 08, 2006 8:13:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Dire avec force
Ce que je suis
Est suite logique d’où je viens.
Faudrait-il aussi mettre au singulier
Et éviter les fautes de liaisons.
Se caractériser par des naissances,
J’y perds la force de dire
Et il me reste ce que je ne suis pas.

mercredi, février 08, 2006 8:36:00 PM  

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