mercredi, septembre 20, 2006

Le raccord de deux êtres
Chair impatiente de brûler
Faut-il éteindre quelques mèches

9 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Semblant traverser le même désir
Verser l’élixir en tremblant
Sans espérer tenir un calmant.

mercredi, septembre 20, 2006 8:12:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Premiers mots,
Ceux que l’on n’entend pas
Trop préoccupé
Par ceux que l’on réfléchit
Derniers mots
Ceux que l’on ne maîtrise pas
Trop animé
Par ceux que l’on n’a pas dit
Tous les mots
Ceux dont on n’a plus confiance
Trop mal placés
Trop mal aisés
Trop retirés
Par le complexe du pensant.

mercredi, septembre 20, 2006 8:39:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Aigues Mortes et Parlement
Le sel reste en bouche
La flotte ne rince pas
La rétention s’ajoute
Au staff des langues de bois.

mercredi, septembre 20, 2006 8:40:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

amené lentement à l'explosion
au sein du si doux calice
tu en oublies les prémices
des ébats heureux

mercredi, septembre 20, 2006 10:16:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

le mensonge perfore la raison
s'immisce avec délice
dans les failles invisibles
des amoureux

mercredi, septembre 20, 2006 10:17:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

constance, folie, imagination...
tu ne sais que faire
pour briser tes fers
et la garder en prison

mercredi, septembre 20, 2006 10:17:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Glisser dans la confusion
Caracoles jusqu’à se perdre
Au creux du méandre
Que déchire la passion

mercredi, septembre 20, 2006 11:12:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Sentiments, fugaces sensations
Hésitations à s’y méprendre
Lorsque s’en mêlent le manque
Et le spectre d’une transformation

mercredi, septembre 20, 2006 11:12:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Sens que prennent cent pas en rond
Avec une pro du crochet
Un cachot familier
Et une hymne à l’évasion

mercredi, septembre 20, 2006 11:43:00 PM  

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