jeudi, septembre 14, 2006

Avait-il semé son angoisse
Du fond de son oubli
Derrière ses vapeurs
Un être se réchauffe

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Navire aux teintes de funérailles
Rouge sans subtiles couleurs
A sa rencontre ce soir
Un théâtre à une voie
Celle qui mène là où tu ne veux pas
Personne ne jouait sans noir
Juste un rêve et un mal au cœur
Pourrait-on baisser l’éclairage?

jeudi, septembre 14, 2006 9:12:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

Une force : celle de faire passer CA
Un passage : de main à main
Une main : l’AUTRE
Un autre : pour sa chaleur

Par tes poèmes, tu forces le passage à une autre main. Angoisses, formule échafaudée de ton inconscient, et tout ce reste…
Alors tu connais le proverbe créole :
Sé jan ou ka fè kaban aw ou ka domi. (C'est de la façon dont tu fais ton lit que tu te couches.) Les évènements ne sont pas le fruit du hasard ou on récolte ce que l'on sème.

jeudi, septembre 14, 2006 9:27:00 PM  

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