mardi, juillet 04, 2006

Aujourd’hui encore une élection se meurt
Dans trop de pays les urnes se prennent à mentir
Mais ce n’est pas le scrutin qui s’affole
C’est encore l’erreur qui commande à la main
Cet homme du trucage s’éloigne de l’humain

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

La canicule n’a pas plus de scrupules
A planter un homme seul, son havane,
Sous un porche et une chaise à bascule,
Qu’à rire d’une pluie de griefs qui se pavanent
Sortis des bouches fielleuses des bohémiennes.
Elle est celle que j’incrimine,
Pour que ces mains ne soient pas miennes
Lorsque je tiens une carabine
Comme je me conviens d’usurper
Un visage qui n’est pas le mien.
Elle permet le temps d’un été
Au regard sur les miens
Au regard qui me tient
De finir dans un feu de paille.
Avec les hurlements du train
Qui faute de canicule déraille.

mercredi, juillet 05, 2006 2:11:00 AM  

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