vendredi, juin 30, 2006

Démons rampants déployant leur cape de velours
Pour un peu le mensonge devenu poison vital
Trop d’incisives dans vos sourires
Sombre armée, triste essaim
Sonnez donc quelques préventifs tocsins
Les voltigeurs de la haute ont amené leur ombre

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Quelle serait sa chance
Un pied dans le vide
Et le bruit qui lance
Une alerte au précipice ?
Sans pouvoir renoncer
Sans pouvoir s’accrocher
Un autre pied réserve au ballet
Le droit d’exister en réfugié.

dimanche, juillet 02, 2006 7:34:00 PM  

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