jeudi, juin 22, 2006

Pour une veille de prestige
Comprendre où passe ta sensibilité
La nuit où je pourrai enfin partager ta distance
Cette nuit, je tremble ton vertige

2 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Les nuages portent des ceintures
On ne voit pas tout d’en haut
Censures pour regards trop anxieux.
Le vide porte du coton
On ne voit pas d’étiquette
L’essayer ne serait pas dangereux.
La hauteur se goûte avec les pouces
On ne voit pas Tom en faire des tonnes
Mais quoi de meilleur qu’une main heureuse ?

jeudi, juin 22, 2006 5:40:00 PM  
Anonymous Anonyme said...

La danseuse est immobile
Destin éternel et fragile
Claquant à chaque tour de poigné
Ils avaient oublié de la remonter.

La danseuse prend de l’élan
Rondes saccadées et subtiles nuances
Souffrant de n’avoir qu’un pied
Elle voulait de son appui être délivrée.

Tu t’es interrogé sur son cliqueti
Qui n’avait rien de mécanique
Offrant un deuxième pied
La danseuse aimerait avec toi danser.

jeudi, juin 22, 2006 6:07:00 PM  

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