dimanche, mars 19, 2006

De l’autre côté du carrefour
Il y a l’hôpital psychiatrique
Où l’on enferme pour quel détour ?

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Des irrégularités aux folies insignifiantes.
Trop fins pour laisser aux heures leur temps.
Ils s’écoulent, disparaissent sous la vague.
On les veille pour préserver ce qu’on a.
Enfermés dans la toile, les grains échappent.

dimanche, mars 19, 2006 11:58:00 PM  

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