mercredi, mars 15, 2006

Se soutenir d’un lien vivant
L’école des corps qui palpitent
Les corps décollent de leur pesant

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

L'Ombre et le Corps mentent
La séparation est latente
A la lumière tu disparais!

jeudi, mars 16, 2006 1:47:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Elle choisit les reflets,
Une imposture qu’elle écoule
Plutôt qu’une réalité qui croupit.

vendredi, mars 17, 2006 12:10:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

Ses lèvres vernies mettent un terme.
Une finition qui fige les imperfections.
L’insatisfaction se dépêtre
Et enchaîne la réponse à la pulsion.
Une finition qui écarte le toucher,
Le désir de reprendre est barré
Et le trait du sourire est contrarié.

vendredi, mars 17, 2006 1:04:00 AM  

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