mardi, janvier 24, 2006

Les marchands de sable bétonnent
Chroniques d’un assèchement les modalités de la jouissance
Les orifices ne font plus trou

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Après la fête du mouton,
Plus assez pour tenir les comptes
et le sommeil devient vagabond.

mercredi, janvier 25, 2006 11:12:00 PM  

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