jeudi, janvier 12, 2006

Le temps de la bascule

Il s’agit de passer la seconde, de trouver un plan B
L’urgence se fait trop sentir
Il nous faut dépasser l’urgence
Aujourd’hui pour résister au plus près
J’intercale ce qui peut ré enchanter un monde qui nous échappe car on veut nous faire croire qu’il n’est pas le notre.
Comme une nouvelle appropriation pour lutter contre ce qui vient dire à notre place
A l’analyse des attaques, qui ne se cachent plus, de la psychanalyse
Qui faisait l’ordinaire de ce blog
Je propose de nous rassembler, car il n’est pas encore temps heureusement de nous réfugier,
Dans le « Moulin à parole »
Ce moulin sera le lieu du symbole, le symbole d’une résistance qui doit se dire
Je choisis la poésie car le temps de la subversion doit pointer le risible de leur machination
Car s’ils érigent une nouvelle cathédrale, plus haute que toutes les religions, elle n’a pas de fondation, ni même de foi. Leur cathédrale d’autorité, vide de sens, vient déjà faire de l’ombre à tous les petits moulins.
Il n’y a pas aujourd’hui de « sous les pavés la plage », il y a sous cette ombre du dire creux, la force d’une parole qui grouille.
Cette parole, il ne tient qu’à nous d’en laisser trace.
C’est le but de mes petits pavés poèmes que vous pouvez ici compléter, commenter.
Gaëtan

1 Comments:

Anonymous Anonyme said...

Prendre l'espoir par les mots,
dire les mouvements, les moments de bouleversement, pour y retrouver la richesse du vivre, la résistance vivante est une lutte de grammaire et de syntaxe, d'usage de la langue, pour aller ailleurs, là où les mots usés n'ont pas cours.

jeudi, janvier 12, 2006 11:03:00 PM  

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