Nos regards,
A laisser et puis à prendre
Sur le ponton du mouvement
quittent la terre pour un soupçon
A laisser et puis à prendre
Sur le ponton du mouvement
quittent la terre pour un soupçon
posted by L'Ecole du lien at 5.2.08
mardi, février 05, 2008
Qui êtes-vous ?
- Nom : L'Ecole du lien
- Lieu : Metz, France
Je suis approximativement une métamorphose, un projet, une utopie, en voie de développement, en manque, clivé, en cours de révolution, en déséquilibre, en quête d'absolue, en définition, immobile et mouvant, inattrappable, muet de désir, irradié...
Previous Posts
- Bruit sourd, bruit de répétitionToi et ta vieille ...
- A court d’idée, Cupidon jouait de sa violeErrant d...
- Œil de ce photographeQui jamais sans appareilSurpr...
- Il n’y a pas de réalité avec un grand AirIl n’y a ...
- Sur les dernières braises d’utopies, voir cracher ...
- Avec les cornes on s’amuseEcossaises aux kilts lég...
- Chaque guerre,Même inconnue de ma mémoireFait de m...
- Au titre de l’absence de ma paroleJe ne puis qu’êt...
- Des nouvelles de la délationSi l’on définit mon id...
- Beaux les dialogues blancs des mal-disantsDans le ...
2 Comments:
« J'ai écrit parce que c'était la seule façon de parler en se taisant »
"Nas" d'a"q" dans le flaw des incertitudes,
Au bord des ruptures fleuves
A fleur de nature, fauve
Et las domestiqué d'absurde.
Ils sont hommes et moi dedans
lotus sans autre opportunité que d'évoluer
Enregistrer un commentaire
<< Home