mardi, avril 11, 2006

Avec pudeur faire voile de son éthique
A travers ces nœuds gorgés d’espoir
Faire vent de sa sincère émotion
Et prendre la route pour quelque part

3 Comments:

Anonymous Anonyme said...

La vague a repris ce qu’elle apportait
Puisque le vent s’est essoufflé avant quai.
Quelque part, l’insolence de ce courant
A fait grandir et tomber un chant.

mercredi, avril 12, 2006 1:57:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

A la fin,
Franchir des seuils
Sans claquer les portes
Mais où l’intensité de ce qui attriste
D’abord minimale
Force jusqu’à faire mal.
La traversée de ces limites
Compromettait en partie son confort
Au bénéfice d’un huit clos délicieux.

mercredi, avril 12, 2006 3:13:00 AM  
Anonymous Anonyme said...

J’ai pris ce siège.
La sirène a soulevé la foule.
Les tours nient les contours,
Et là, vite, est-ce un piège ?

Pas si ronds les tours qu’il a pris.
Le manège
Propose que l’on se protège
La vie
Invite à virer sans filet.

Alors on y prend une place.
Une voix interdit de rester au près.
Une autre souffle discrètement que dans,
Rien ne restera en place.
Ni l’un ni l’autre ne feront de prêts.
Seul à la fin un nom pour des dents.

Mes mains se sont agrippées
Parce qu’elles connaissent le danger.
Serait-ce l’ennui sans tournis ?
La vitesse m’attire ainsi
Car lorsque coulent les larmes
Je peux sentir un visage.

Un tour qui détourne,
Et j’y retourne.
J’avais pris ce siège
Pour ne faire qu’un tour de manège.

jeudi, avril 13, 2006 1:23:00 AM  

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